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  1. MacSphere
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  3. Open Access Dissertations and Theses
Please use this identifier to cite or link to this item: http://hdl.handle.net/11375/11427
Full metadata record
DC FieldValueLanguage
dc.contributor.advisorSerruys, Nicholasen_US
dc.contributor.authorBenson, Gillian L.en_US
dc.date.accessioned2014-06-18T16:54:38Z-
dc.date.available2014-06-18T16:54:38Z-
dc.date.created2011-10-10en_US
dc.date.issued2011-10en_US
dc.identifier.otheropendissertations/6393en_US
dc.identifier.other7432en_US
dc.identifier.other2283607en_US
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/11375/11427-
dc.description.abstractCette thèse porte sur la valeur philosophique des représentations de la science et de la mythologie dans la science-fiction postmoderne, selon une étude du cycle du Pont d’Élisabeth Vonarburg. L’ensemble des mondes possibles présentés à travers ces œuvres se prête à une lecture épistémologique. Ces mondes, dépourvus de lien significateur avec une réalité sous-entendue, sont autosuffisants ; l’abord de ce type de texte pose ainsi un défi à la connaissance. La codification des œuvres de Vonarburg s’érige selon la constitution d’une <em>xéno</em>encyclopédie. La xénoencyclopédie s’exprime surtout à travers des métaphores, qui occupent par la représentation figurée une fonction épistémologique. Le tout s’assemble en structure cohérente par moyen d’un processus cognitif de projection cartographique effectué par le lecteur. Dans les œuvres du cycle du Pont, la science et la mythologie sont décortiquées pour révéler leurs imprécisions inhérentes. Ces systèmes sont tous les deux enracinés dans le langage, ce qui entraîne une représentation fragmentée et incomplète de la réalité qu’ils veulent figurer. Les représentations de la science et la mythologie, suscitent une investigation empirique qui tente d’élucider leur capacité de soutenir l’apprentissage. L’exposition des contraintes représentatives propres à la science et à la mythologie se manifeste à travers la juxtaposition et la superposition des mondes du cycle du Pont. Nous soulèverons une question finale : des limitations des systèmes de codification, découle-t-il un épuisement potentiel de l’imaginaire ? Pour y répondre, nous invoquerons l’apport de la métafiction, qui relève de l’interaction du lecteur avec le récit.en_US
dc.subjectVonarburgen_US
dc.subjectCycle du Ponten_US
dc.subjectscience-fictionen_US
dc.subjectépistémologieen_US
dc.subjectBaudrillarden_US
dc.subjectreprésentationen_US
dc.subjectEpistemologyen_US
dc.subjectFrench and Francophone Literatureen_US
dc.subjectModern Literatureen_US
dc.subjectPhilosophy of Languageen_US
dc.subjectEpistemologyen_US
dc.titleDE LA MÉTAPHORE À LA MÉTAFICTION: LA CODIFICATION DU POSSIBLE DANS LE CYCLE DU PONT D'ÉLISABETH VONARBURGen_US
dc.typethesisen_US
dc.contributor.departmentFrenchen_US
dc.description.degreeMaster of Arts (MA)en_US
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